Ces crapules de lycéens,
qui ne sont jamais contents,
et qui font mine de défiler dans les rues, comme samedi,
liront avec profit
A QUAI de Thierry Marignac.
Ils verront qu'il est question d'une école improvisée à bord d'un rafiot,
de demandeurs d'asile aux portes de l'UE,
de rescapés des guerres.
Trop facile de se contenter d'écrire KILLER sur sa copie,
au nom d' ATHENA.
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à la place des ouiouistes, je m'inquièterais
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