jeudi 21 octobre 2010
Völker hört die Signale
Les dirigeants syndicaux sonnent déjà moins creux.
ça va bouger de toute façon.
Que ce soit vendredi ou lundi,
c'est illégitime.
Y'a bien eu un petit communiqué déguelasse
du conseil national de la CFDT
mais la mobilisation continue,
d'autant que l'opinion soutient les formes d'actions prises.
On voit mal comment le gouvernement
pourrait s'engager sur une promesse sénatoriale
et envisager une remise à plat en 2012 ;
par contre on voit surtout qu'il veut taper dans la gueule des radicaux.
Tiens d'ailleurs, c'est ce qu'ils doivent être en train de se dire
à l'intersyndicale.
EN SUPPLÉMENT ;
un extrait de l'article de Edwy Plenel,
L'heure du peuple, 20/10/ 2010.
Mediapart
"Le rêve de tout pouvoir, et encore plus d’un pouvoir sans partage
comme celui que nous impose notre présidentialisme déséquilibré,
est d’être l’horloger de la société.
De l’identité nationale
aux discours insécuritaires, en passant par la xénophobie d’Etat et
par la contre-réforme des retraites, l’habileté de Nicolas Sarkozy
a toujours le même ressort : nous imposer son agenda partisan,
entre idéologie conservatrice et intérêts de classe.
Or c’est cette horloge que dérègle l’actuel mouvement social, en
cherchant à imposer son propre temps discordant, imprévisible
et dissident. Polysémique et pluraliste, il se rassemble autour des
retraites, non seulement par intérêt matériel bien compris, mais
aussi par intelligence du moment : c’est en refusant par principe
un agenda imposé par le pouvoir qu’on déréglera sa machine à
produire plus d’injustice, de domination et de soumission."
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Tatie Monik
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