Völker hört die Signale

MISE AU POINT

La « crise » , cette belle affaire
semble avoir encore de beaux jours devant elle.
Seule la population ordinaire a intérêt au retour de la paix.
C’est se voiler les yeux que d’imaginer
que d’un coup de baguette magique,
des élections,
quand bien même elles seraient justes et transparentes,
mèneraient à une paix durable.
La paix ne se décrète pas, elle se vit.

Ballottés de capitale en capitale pour les rencontres entre « grands »,
les gens « ordinaires » en ont ras le bol
de la croissance des rivalités internes de part et d’autre,
et des intérêts bien comptés de toutes les parties,
qui laissent peu d’espoir dans une résolution rapide de la « crise »,
ça commence à bien faire !

Mais petit à petit,
l’idée que cette situation de « ni paix ni guerre »
profite à ceux qui ont le pouvoir de la faire cesser se développe,
et cela montre et démontre que le pays est bientôt sorti de l’auberge.
Pis, le meilleur, pourrait-on penser, reste à venir
car en raison du Front des travailleurs,
« on va tous crever» devient le nouveau credo des patrons .

LE FRONT DES TRAVAILLEURS