samedi 18 septembre 2010

Völker hört die Signale

L'effondrement des régimes bureaucratiques
offre certes, aujourd'hui, l'occasion de relire Marx.

Mais la vitalité morbide du capital aussi !

Aujourd'hui comme hier, on devrait être conduit à penser
que nous sommes dans une société terminale
dans laquelle ne se manifesterait plus aucune impulsion
vers une société future.

No Future
Voilà l'arnaque !
Voilà le slogan de l'idéologie dominante.
Voilà l'actualité du message des punks de mes deux,
avec leur représentation fétichiste de l'Histoire
qui se sont contentés de traduire Marx dans leur petite musique à eux !

Tout cela pour dire que Marx l'intempestif,
Grandeurs et misères d'une aventure critique ( XIX ème-XX ème siècles)
de Daniel Beniladit
est un véritable trésor
( occitan bien sûr).

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