jeudi 28 juin 2012

Völker hört die signale

L'HOMME-OBJET L'Education citoyenne du "peuple" n'a jamais constitué une priorité aux yeux des politiques. Bien au contraire nos dirigeants renouent avec la thématique de la "vermine" qui autrefois servait à désigner le Juif dans l'Allemagne nazie. "Approfondir l’union économique, monétaire et demain politique " déclare Hollande, ce qui signifie rien moins qu' une hiérarchie dans le respect des Droits, une volonté de tourner le dos à toute aspiration démocratique mais justifie par avance les éventuels comportements d'exclusion que nous pourrions avoir à l'égard de ces pédés. ( avec du gravier ) En tout cas, de meilleurs jours sont à venir pour la France. ET VOICI MAINTENANT L'APPEL DE VICKY LEANDROS : "Notre combat n’est pas seulement celui de la Grèce, il aspire à une Europe libre, indépendante et démocratique. Ne croyez pas vos gouvernements lorsqu’ils prétendent que votre argent sert à aider la Grèce. (…) Leurs programmes de « sauvetage de la Grèce » aident seulement les banques étrangères, celles précisément qui, par l’intermédiaire des politiciens et des gouvernements à leur solde, ont imposé le modèle politique qui a mené à la crise actuelle. Il n’y pas d’autre solution que de remplacer l’actuel modèle économique européen, conçu pour générer des dettes, et revenir à une politique de stimulation de la demande et du développement, à un protectionnisme doté d’un contrôle drastique de la Finance. Si les Etats ne s’imposent pas sur les marchés, ces derniers les engloutiront, en même temps que la démocratie et tous les acquis de la civilisation européenne. La démocratie est née à Athènes quand Solon a annulé les dettes des pauvres envers les riches. Il ne faut pas autoriser aujourd’hui les banques à détruire la démocratie européenne, à extorquer les sommes gigantesques qu’elles ont elles-mêmes générées sous forme de dettes. Nous ne vous demandons pas de soutenir notre combat par solidarité, ni parce que notre territoire fut le berceau de Platon et Aristote, Périclès et Protagoras, des concepts de démocratie, de liberté et d’Europe. (…) Nous vous demandons de le faire dans votre propre intérêt. Si vous autorisez aujourd’hui le sacrifice des sociétés grecque, irlandaise, portugaise et espagnole sur l’autel de la dette et des banques, ce sera bientôt votre tour. Vous ne prospérerez pas au milieu des ruines des sociétés européennes. Nous avons tardé de notre côté, mais nous nous sommes réveillés. (...) Résistez au totalitarisme des marchés qui menace de démanteler l’Europe en la transformant en Tiers-monde, qui monte les peuples européens les uns contre les autres, qui détruit notre continent en suscitant le retour du fascisme."

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